"A Paris, il y a un service de police que l' on appelle Austerlitz, qui s' occupe uniquement du graffiti sur métro. Leurs méthode ? Des descentes dans les dêpots, des enquêtes de voisinage, et surtout pas mal de balances ... Ils ont même ce qu' ils appellent des graphologues, qui essayent de déterminer qui a fait quoi, en étudiant le style des graffs ! " SEZAM / D77.
"Les murs c' est tellement ennuyeux ... Je peins des trains parce que j' aime l' action, l' atmosphère qui s' en dégage ... et ensuite parce que je kiffe de voir mon graff devenir vivant, bouger et rouler, puis d' observer les réactions des gens ... Le vrai graffiti est né sur les trains, et il doit y rester ! " OPAK / SDK-IT.
"La plupart du temps, on descend à plusieurs pour faire des métros, mais il faut être discret. L' avantage, c' est que les maîtres-chiens ne lâchent jamais leurs chiens dans les tunnels à cause des rails électriques ; c' est moins flippant si on est à beaucoup, car chacun sait que s' il faut se battre on n' est pas tout seul." SEZAM / D77.
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